je me souviens

des carambars à 5 cts de francs, des ordinateurs sans disque dur, d'avoir appris une scène du Malade Imaginaire en compagnie d' Alexandra, juchées sur le toît de sa maison à Queens, l'époque où les faxs n'existaient pas, le générique de l'Ile Aux Enfants.

jeudi, juin 07, 2007

Pate de dattes

Nous avons quitté ce matin Monaco pluvieux pour Montpellier. Le petit Théo n'a pas voulu nous dire au revoir, au moins il n'appelle plus Ptipiou Papi. Arrivés à Montpellier, nous avons offert du café ramené du Lac d'Atitlan aux parents de Ptipilou ainsi que de la pâte de dattes trouvée un jour comme ça chez Ed, au moment du Ramadan. Les parents de Ptipilou font parfois des makroudhs fourrés à la pate de dattes, plus beaux que ceux des patisseries orientales, délicieux et cuits au four plutôt que frits. Je pensais ne pas aimer mais dépuis que j'ai gouté le leurs, j'ai changé d'avis. Depuis que je connais Ptipilou, ses parents nous ont fait une fois des makroudhs. C'est d'ailleurs bien la seule fois que je les ai vus se disputer, au sujet de la meilleure façon de procéder. Le père de Ptipilou a même fabriqué un appareil à couper les makroudhs afin qu'ils soient bien qualibrés. Au moment où nous avons sortis le kilo de pâte de dattes, les parents de Ptipilou se sont tordu les mains: ils avaient passé la matinée à fabriquer la pate de dattes: denoyauter les dattes, vérifier qu'elles ne contiennent pas de petits vers, les écraser avec du zeste de citron, un peu d'huile, du safran et de la cannelle. Ils étaient délicieux

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